Dans les années 1970, le Mouvement de libération des femmes exhortait ces dernières à brûler leurs soutiens-gorge pour s'opposer au patriarcat.
Mais c’est sousl’angle des bénéfices de santé d'un tel geste que la question resurgit au tournant des années 2000 aux États-Unis : alors qu’il fait partie intégrante du quotidien de (presque) toutes les femmes en Occident, le soutien-gorge est alors soupçonné selon certaines études d’augmenter les risques de cancer du sein.
Puisque la tendance du « no bra » (anglicisme signifiant « pas de soutien-gorge ») semble revenir en force depuis deux ans et que des interrogations demeurent sur le sujet, tentons de démêler le vrai du faux.
Un article de Jean-Pierre Giess "pioché" dans Alternative santé N° 44.
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