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La médecine traditionnelle chinoise
Elle considère le SAOS comme une accumulation d’humidité et de viscosités dont l’excès de masse grasse dans l’abdomen et dans le thorax est l’une des manifestations parmi les plus évidentes.
La stimulation de certains points d’acupuncture est susceptible de relever le niveau énergétique de la sphère pulmonaire avec, pour conséquences cliniques, une respiration plus ample, une diminution du terrain anxieux ainsi qu’une diminution des zones œdémateuses.
Par ailleurs, l’apprentissage de l’automassage de ces points permet à domicile d’en prolonger durablement les effets.
Enfin, elle recommande l’observation des trois principes suivants pour bénéficier du meilleur sommeil :
- penser peu,
- parler peu et...
- manger peu !
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Ouvrir la bouche face à un miroir :
Le truc qui pourrait aider
Une équipe espagnole a récemment compris qu’il existait une relation entre la position de la langue par rapport au palais et la sévérité du SAOS exprimée par le biais de l’IAH.
Cet outil appelé échelle de Friedman se décline comme suit :
- Grade 1 : les amygdales, la luette et le voile du palais sont tous visibles.
- Grade 2 : seuls la luette et le voile du palais sont visibles.
- Grade 3 : seul le voile du palais est visible.
- Grade 4 : seul le palais osseux est visible.
Interprétation : plus le grade est élevé, plus le SAOS est sévère.
Se regarder dans la glace pourrait ainsi être une bonne façon pour chacun de connaître son niveau de SAOS.
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La curcumine, un agent très spécial
La curcumine posait question à la médecine occidentale car, très vite dégradée en milieu aqueux, elle est fort peu disponible pour l’organisme et probablement loin d’être aussi efficace que ce qu’une certaine tradition le proclame.
Pour contourner ce problème, des chercheurs ont mis au point une forme galénique spéciale, protégée par un brevet.
Cette précaution est probablement superflue :
Les diverses propriétés attribuées à la curcumine ne sont pas les siennes, mais celles de ses produits de dégradation au nombre desquels l’aldéhyde, l’acide férulique et l’acide vanillique.
Bien que ces métabolites soient eux-mêmes faiblement disponibles, c’est leur synergie qui leur donne la puissance thérapeutique et fait que le curcuma est utilisé en médecine ayurvédique depuis des temps immémoriaux.
À suivre...