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Au cours du SAOS
L’adoption d’un régime alimentaire trop calorique et trop gras induit rapidement une altération de la flore intestinale dans sa composition, puis une élévation des chiffres tensionnels.
Deux mesures d’hygiène peuvent facilement être déclinées :
- Quitter le régime alimentaire occidental pour l’un des modèles suivants : Atkins amélioré, méditerranéen ou végétarien.
- Faciliter le retour à un microbiote intestinal sain en faisant une cure d’au moins quatre mois de symbiotiques (probiotiques associés à des prébiotiques).
Plus la teneur sanguine en vitamine D est basse, plus la sévérité du SAOS est marquée.
Il s’ensuit que, chez toute personne affectée de SAOS, un dosage sérique de cette vitamine devrait être systématique au moment même de la prise en charge médicale. Une complémentation adaptée devrait être prescrite en conséquence. De plus, des contrôles sanguins réguliers devraient être réalisés afin de vérifier si la concentration vitaminique est satisfaisante ou pas, et s’il faut ou non réadapter la posologie de la complémentation. Vitamine D3 : au moins 400 UI/j, toujours sous contrôle médical.
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Chez une personne atteinte de forme modérée à sévère de SAOS, la sécrétion de deux neurotransmetteurs cérébraux est particulièrement perturbée au cours du sommeil.
Celle du GABA, impliqué dans l’apaisement des pensées et le ralentissement des fonctions physiques, est abaissée alors que celle du glutamate, générateur de stress bien connu, est sensiblement augmentée. Le cerveau ne peut donc ni se reposer ni se régénérer. Pire, il est soumis à une surproduction de radicaux libres. Il est donc exposé à une dégénérescence à plus ou moins long terme.
Il est capital de rétablir au mieux la régulation de ces deux neurotransmetteurs.
Pour ce faire :
- Prendre chaque soir en dehors du dîner : du GABA.
- Ainsi que de la curcumine, soit sous forme de curcuma, incorporé au plat principal du midi et du soir), soit sous forme de complément alimentaire.
La régulation de la ventilation est en grande partie sous la responsabilité de la sérotonine.
D’autre part, une sécrétion insuffisante de sérotonine est souvent retrouvée au cours du SAOS. Il est donc préférable de prendre également un extrait de Griffonia simplicifolia, riche en précurseur de la sérotonine, neurotrans-metteur essentiel à une bonne ventilation.
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Comme le sommeil est insuffisamment réparateur, le niveau de stress psychologique augmente progressivement et s’ajoute aux facteurs aggravant le SAOS.
Pour diminuer cette éventualité :
- Un complexe magnésien comprenant les deux fixateurs du magnésium (vitamine B6 et taurine). D-Stress ou Streas-Nut.
- Se mettre au yoga, au tai-chi-chuan, au qi gong et autres techniques assimilées : la pratique quotidienne améliore la circulation de l’énergie dans les méridiens de santé et, par là, les différentes fonctions de l’organisme.
- Méditer entre 10 et 20 minutes avant de s’allonger et de se laisser glisser dans le sommeil : l’endormissement et le sommeil sont alors de bien meilleure qualité.
À suivre...