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L'univers participatif
Les chercheurs ont établi que, quelques fractions avant le Big Bang, l'univers dénué de tout espace vide devait avoir à peu près la taille d'un petit pois!
La force explosive s'est propagée ensuite tel un "filet" ou une "toile" qui continue de s'étendre dans le cosmos.
Or cette énergie interconnecte tout ce qui existe dans l'univers. Par conséquent, ce qui était fusionné dans le petit pois, il y a 20 milliards d'années, est toujours interconnecté et l'énergie qui effectue cette connexion est ce que le physicien Max Planck appelle la "matrice".
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La première expérience,
décrite par Gregg Braden, est tirée d'une étude réalisée par l'armée:
On prélève du tissu muqueux dans la bouche d'un volontaire, et on observe l'activité de l'ADN.
À plusieurs km de là, le donneur visionne une série d'images vidéo conçues pour susciter de fortes émotions.
Chaque fois que le donneur éprouve des chocs émotionnels, on enregistre alors de fortes réactions électriques au niveau de l'ADN de ses cellules. L'ADN se comporte donc comme s'il était encore physiquement connecté au donneur dans cette expérience effectuée jusqu'à une distance de 550 km.
En utilisant une horloge atomique, on a pu également vérifier que l'intervalle entre l'émotion et la réaction cellulaire est nul: l'effet est simultané.
"Il n'y a en réalité aucun endroit où le corps finit et où il commence"
Comme le dit très bien le philosophe Pol Droit: "Il n'y a rien de moins personnel que ce pronom personnel totalement interchangeable"
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La deuxième est relatée par Bruce Lipton.
Ce sont des histoires de greffe:
Une jeune fille très soucieuse de sa santé, à qui l'on a greffé un coeur se découvre un penchant pour la bière et la moto. C'est en parlant avec la famille du jeune homme de 18 ans qui a été le donneur qu'elle en découvre les goûts.
Plus étrange encore l'histoire de cette jeune fille qui s'est mise à faire des cauchemars de meurtre après sa greffe, rêves si éloquents qu'ils menèrent à l'arrestation du meurtrier du donneur.
(The true stories of Organ Transplant Patients. Paul Pearsall)
On peut faire l'hypothèse d'une "mémoire cellulaire", mais bien que l'on puisse avoir beaucoup d'admiration pour les cellules, il est improbable que leurs petits brins de protéine intrinsèque puissent stocker une mémoire émotionnelle.
Par contre, cela devient compréhensible, lorsque l'on sait que les organes transplantés portent des récepteurs d'identité du donneur (les antigènes leucocytaires humains, HLA). Ces protéines réceptrices, qui sont situées à la surface de la membrane, sont une sorte d'antenne lisant un signal identitaire inexistant dans la cellule, mais qui leur parvient de l'extérieur.
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Les organes transplantés...
... semblent ainsi continuer à savoir télécharger l'identité du donneur suggérant que l'information est environnementale et continue à "émettre" malgré la mort physique du donneur.
Par analogie mécanique, nous pouvons facilement comprendre que si notre téléviseur tombe en panne, l'émission télédiffusée est toujours sur les ondes, et qu'il suffit de vite chercher la même longueur d'onde sur la télé des voisins pour voir la fin du film!
On peut donc imaginer que le porteur d'une greffe reçoit deux émissions en même temps: la sienne propre et celle du donneur.
Bibliographie:
- Bruce Lipton: Biologie des croyances (Éd. Ariane)
- Ruppert sheldrake: résonnance morphique
- Greg Braden: la divine matrice.
- Roger Pol Droit: "101 expériences de philosophie quotidienne" (Éd. Jacob).